
Pneumanalyse du Monde d’hier
ta ti tu te que ne di te pes ton tata tontaine et tatinette te de ne regenerate dit on pas que tu ne titenetine pas. ta ti tu te que ne di te pes ton tata tontaine et tatinette te de ne regenerate dit on pas que tu ne titenetine pas. ta ti tu te que ne di te pes ton tata tontaine et tatinette te de ne regenerate dit on pas que tu ne titenetine pas.ta ti tu te que ne di te pes ton tata tontaine et tatinette te de ne regenerate dit on pas que tu ne titenetine pas.ta ti tu te que ne di te pes ton tata tontaine et tatinette te de ne regenerate …
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On ne compte à ma connaissance guère plus de deux « personnes humaines » ayant eux dans l’histoire de l’Occident la prétention d’être le fils unique du Dieu unique. Il s’agit du Pharaon Aménophis IV (Akhénaton) et bien entendu du Christ. Ce qui a concentré d’une manière toute naturelle l’attention des historiens sur la période dite « amarnienne » (de Tel el-Amarna, le site archéologique d’Akhétaton, capitale d’Akhénaton) qui a marqué le règne de ce Pharaon. On s’accorde aujourd’hui pour reconnaître dans le règne du pharaon Akhénaton (de -1364 à -1347 environ, la première expression occidentale du monothéisme dans une antiquité alors vouée à la multiplicité des expressions du divin (ce que formalisent des expressions telles que paganisme, polythéisme, panthéisme,..). De nombreuses études et …
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Aristote face à l’Égypte de Pythagore Aristote (384-322 av. J.-C.) [1] a suivi pendant vingt ans les cours de Platon à l’Ecole d’Athènes; il en est le disciple critique qui, tout en reprenant son idéal d’un savoir vrai, remet en cause (dans la Métaphysique) sa théorie des idées. A l’inverse de Platon qui part du monde des idées pour redescendre vers les choses, Aristote développe une méthode d’observation des choses pour peu à peu en dégager la connaissance totale (comme Descartes, avant Descartes). Mais alors que Descartes s’attache à retirer des objets des faits objectifs essentiellement issus de leur observation directe (et/ou de leur découpage en autant de parties qu’ils peuvent comprendre, etc…), la démarche dialectique d’Aristote commence par discuter …
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Aristote (Lien) n’appréciait guère les que (lien) hérita de l’Egypte ancienne, car ce dernier incarnait probablement ce qu’Aristote rejetait le plus dans la pensée de son maître Platon. Ce qui nous laisse supposer que l’image de l’Egypte qu’Aristote transmit à son disciple Alexandre (Lien) n’avait rien de commun avec ce qui constituait alors les fondements de l’Unité de l’Egypte (lien). Le grand conquérant devait pourtant avoir de l’Égypte une image prestigieuse, quoique dénaturée. A peine venait-il en effet de vaincre, en l’année 333 av. J.-C., les armées de Darius III Codoman en Syrie, qu’il ne songeait plus qu’à ce titre qui le fascinait : Pharaon d’Égypte, en relation avec cette tradition plurimillénaire qui déjà avait fasciné les rois Hyksos, du …
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La présente fiche thématique se présente comme une génèse du nombre et de la forme, telle que les mystères du temple d’Héliopolis auraient pu l’enseigner, et telle que la développe le Schéma directeur de Montségur. Je l’ai volontairement présenté sous une forme simplifiante et très figurative (à tel point d’ailleurs qu’on pourrait l’intituler ’’génèse élémentaire à l’usage des enfants’’). Ses raisons d’être et d’être ainsi sont multiples et je tiens ici à en faire l’introduction. Il s’agissait d’abord de prendre un style léger, enfantin et pas trop pompeux, pour ne pas trop se prendre au sérieux et ne pas alourdir la lecture par un texte long, insipide, obscur, comportant des tas de mots inconnus et rébarbatifs. Il s’agissait ensuite d’introduire …
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,ukhhj Plusieurs dizaines de thèses historico-religieuses ne suffiraient pas à faire le point des relations entre l’ancien culte égyptien d’Héliopolis*** et la naissance des grandes religions monothéistes, la judaïque et la chrétienne. Le thème n’ayant jamais été à ma connaissance abordé directement sous cette angle, je me limiterai dans cette article à tracer les grandes lignes de faits historiques suffisant Principe général des juifs en egypte : Avec héliopolis s’exprime la semence solaire d’un dieu unique qui commence sa manifestation vec joseph pour culminer avec moise et aakhénaton. Avec Thebes, cette semence devient fruit christique et marque le deuxieme temps de la gestation, celui de l’agneau fils du bélier. Quoique moise soit sauvé des eaux d’amon _ né des eaux …
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